9 avril 2008
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Aujourd'hui, un billet qui va être un remerciement à quelqu'un que j'ai rencontré hier et la réalisation d'une promesse faite à la même personne. Non, rien de bien mystérieux ou très profond....mais d'abord la réparation d'un oubli.
Je ne vous ai pas présenté nos chats! Nous en avons trois: Mélodie , complètement nymphomane, et donc à cette époque de l'année (encore plus que le reste du temps...) en vadrouille quelque part à rêver certainement à son compagnon idéal. Je n'ai malheureusement pas de photo récente d'elle mais la voilà:
Toffee est un mâle absolument adorable qui n'aime rien plus que dormir sur les genoux d'une personne calme (ma deuxième fille devant la télé..et les "dorama"):
Muffin est la plus jeune et donc fait la loi sur les deux autres:
Voilà pour la promesse faite aux fans de chats!
Comme je vous le laissais prévoir par le titre, je vais évidemment encore vous parler de mon potager, car je suis allée semer des haricots verts et des tomates cerise.
La première fois que j'ai utilisé des graines de haricots verts, je m'étais contenté de les mettre en terre puis de laisser faire la nature. GROSSE ERREUR...une semaine plus tard rien....quelques jours d'attente en plus, toujours rien.....ce ne sont pas des carottes donc si la température est suffisante, ils sortent en 4-5 jours maximum. Bizarre, me suis-je dit..
Et j'ai consulté un des nombreux ouvrages qui sont autant de bibles pour mes essais pour trouver la réponse à ma perplexité. J'avais creusé le sol, espérant y trouver au mieux les graines en germe, au pire les restes pourris d'une ébauche de plante.
MAIS LES PIGEONS (ou les corbeaux, qui sait?) avaient été plus rapides que moi! Comme l'auteur du livre le faisait remarquer avec humour, on dirait qu'ils ont des lasers ou autre chose à la place des yeux qui leur permet de voir à travers l'épaisseur de terre qui recouvre l'objet de leur convoitise.Maintenant, lorsque je plante les variétés de haricots, je couvre les plates-bandes de filet protecteur qui empêche les volatiles de s'en approcher.
Après les plantations il me restait un dernier travail à effectuer: éclaircir les lignes de carottes, komatsuna et épinards. Les premiers sont trop petits pour qu'on puisse en faire quoique ce soit, mais les derniers avaient une taille raisonnable: un beau saladier qui va garnir ma soupe de miso ce soir.
Et pour conclure, le remerciement, car j'ai grâce à la conversation d'hier pu trouver ce que je cherche depuis deux ans pour soigner l'oïdium récurrent de mes rosiers: de la bouillie bordelaise. Comment avais-je pu paser à côté du "borudo" écrit en katakana sur le paquet?
(498 yens + TVA dans les magasins KAHMA)
Je ne vous ai pas présenté nos chats! Nous en avons trois: Mélodie , complètement nymphomane, et donc à cette époque de l'année (encore plus que le reste du temps...) en vadrouille quelque part à rêver certainement à son compagnon idéal. Je n'ai malheureusement pas de photo récente d'elle mais la voilà:
Toffee est un mâle absolument adorable qui n'aime rien plus que dormir sur les genoux d'une personne calme (ma deuxième fille devant la télé..et les "dorama"):
Muffin est la plus jeune et donc fait la loi sur les deux autres:
Voilà pour la promesse faite aux fans de chats!
Comme je vous le laissais prévoir par le titre, je vais évidemment encore vous parler de mon potager, car je suis allée semer des haricots verts et des tomates cerise.
La première fois que j'ai utilisé des graines de haricots verts, je m'étais contenté de les mettre en terre puis de laisser faire la nature. GROSSE ERREUR...une semaine plus tard rien....quelques jours d'attente en plus, toujours rien.....ce ne sont pas des carottes donc si la température est suffisante, ils sortent en 4-5 jours maximum. Bizarre, me suis-je dit..
Et j'ai consulté un des nombreux ouvrages qui sont autant de bibles pour mes essais pour trouver la réponse à ma perplexité. J'avais creusé le sol, espérant y trouver au mieux les graines en germe, au pire les restes pourris d'une ébauche de plante.
MAIS LES PIGEONS (ou les corbeaux, qui sait?) avaient été plus rapides que moi! Comme l'auteur du livre le faisait remarquer avec humour, on dirait qu'ils ont des lasers ou autre chose à la place des yeux qui leur permet de voir à travers l'épaisseur de terre qui recouvre l'objet de leur convoitise.Maintenant, lorsque je plante les variétés de haricots, je couvre les plates-bandes de filet protecteur qui empêche les volatiles de s'en approcher.
Après les plantations il me restait un dernier travail à effectuer: éclaircir les lignes de carottes, komatsuna et épinards. Les premiers sont trop petits pour qu'on puisse en faire quoique ce soit, mais les derniers avaient une taille raisonnable: un beau saladier qui va garnir ma soupe de miso ce soir.
Et pour conclure, le remerciement, car j'ai grâce à la conversation d'hier pu trouver ce que je cherche depuis deux ans pour soigner l'oïdium récurrent de mes rosiers: de la bouillie bordelaise. Comment avais-je pu paser à côté du "borudo" écrit en katakana sur le paquet?
(498 yens + TVA dans les magasins KAHMA)